- Date de début
- 28 mars 2024
- Date de fin
- 28 mars 2024
- Horaires
- 8h30 - 17h
- Lieu
- Les docks de Paris, 87 avenue des Magasins généraux, 93300 Aubervilliers
- Contact
- contact@agea.fr
Défendre nos assurés
Les premières victimes du changement climatique sont les Français et donc nos assurés. Aucun risque naturel n’est spécifique à une région française, toutes sont exposées à la grêle, aux inondations, aux coulées de boue, au retrait-gonflement d’argile (RGA), à la submersion…
L’inégalité survient au moment du traitement du sinistre par les pouvoirs publics et les compagnies. Ainsi les arrêtés de catastrophe naturelle sont souvent source de frustration. Publiés au Journal Officiel (JO), ils précisent les communes qui ont droit à la reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle, les autres étant de facto exclues.
On voit ainsi régulièrement deux communes limitrophes touchées par l’événement qui n’ont pas le même traitement : l’une peut être inclue et l’autre non. Dans ce deuxième cas, les assurés (s’ils le sont) se tournent vers leur assureur et ses garanties, qui diffèrent d’une compagnie à l’autre.
Considérées comme trop exposées aux risques naturels, certaines zones pourraient être exclues du dispositif assurantiel.
Assurer est notre raison d’être
Assurer est notre raison d’être
C’est précisément ce que nous voulons éviter.
Assurer est notre raison d’être et elle est basée sur l’évaluation du risque, pas son exclusion. Ce serait un grand danger pour notre profession.
Venez faire entendre votre voix dans ce débat vital pour les agents généraux.
Christophe Caille , président adjoint d’agéa et agent général allianz à mâcon (71)
L'assurance comme acteur du changement
Trois voies s'offrent pour le financement de la transitio écologique. Il y a d'abord la hausse des primes, déjà décidée, mais qui doit rester dans des limites raisonnables pour les assurés. Ensuite, les pouvoirs publics devront s'impliquer beaucoup plu financièrement. Enfin, il va être nécessaire développer l'épargne dites "verte" ou "responsable". Pour l’instant, l’équation est compliquée. Circule notamment l’idée que les investissements et projets écologiques seraient moins rentables mais la vérité est que nous manquons d’expérience pour l’affirmer ; cela pour plusieurs raisons.
Ces produits sont nouveaux, encore en cours d’évaluation et s’envisagent sur le long ou le très long terme (caractéristique dont nous avons perdu l’habitude). Ainsi nous n’avons pas encore le recul nécessaire pour mesurer leur rentabilité globale et leur impact réel sur l’environnement et nos sociétés, ce qui nous prive d’un argument de vente majeur.
nous nous devons d’être les meilleurs promoteurs de la finance durable
nous nous devons d’être les meilleurs promoteurs de la finance durable
Il s’agit d’une nouvelle ère qui reste à explorer et à faire découvrir à nos clients !
En tant que promoteur et acteur dans notre tissu social et économique local, nous nous devons d’être les meilleurs promoteurs de la finance locale, durable et socialement responsable, quitte à devoir ajuster notre stratégie au fil des années sur ces supports financiers en plein essor ! Ce n’est qu’avec une expérience plus solide que nous pourrons
avoir le recul nécessaire ! Nous sommes convaincus que nous devons accompagner ce mouvement afin de faire de la Finance Verte, une évidence pour tous !
Benjamin Proux , président adjoint d’agéa et agent général swisslife à paris (75)
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